Dans sa préface initiale signée en Mandchourie le 19 mars 1920, en la fête de Saint-Joseph, H. Lamasse énonce les raisons qui l'on conduit au choix du Sin kouo wen (Xin guowen). La troisième est "la louable correction que ce livre, bien que rédigé pour les écoles officielles d'un pays non chrétien, [lui] a paru observer (...) vis-à-vis des questions morales et religieuses" (p. 11). En note, Lamasse ajoute que "le Sin kouo wen [lui] paraît de beaucoup supérieur aux "Classiques" que l'on mettait jadis entre les mains des enfants mêmes chrétiens". Pour ce qui est de son intervention, il rappelle qu'il a réalisé "la traduction en bon français -- autant, du moins, que la chose est réalisable en pareille matière" (!).
vendredi 29 avril 2005
L'aiguille directrice
Dans la série "Le Confucius de ..." voici ce qu'on peut lire dans un ancien manuel de chinois datant de 1911 destiné "aux écoles primaires du premier degré" (Xin guowen, Shangwu yinshuguan) adapté en 1920 par le père Paul Xavier Henri LAMASSE (1869-1952) sous le titre de Sin kouo wen : ou Nouveau manuel de langue chinoise écrite, traduit et expliqué en francais et romanisé selon les principaux dialectes par H. Lamasse, Miss. Ap. de la Société des Missions Etrangères de Paris. Licencié en Droit. Ouvrage couronné par l'Académie des Inscriptions et Belles-Lettres. (Il a été réimprimé à l'identique par Li Ming Cultural Enterprise Co, Ltd (Taiwan, 1984) à partir d'un exemplaire de sa troisème édition, préfacée à Moukden en 1939)
Dans sa préface initiale signée en Mandchourie le 19 mars 1920, en la fête de Saint-Joseph, H. Lamasse énonce les raisons qui l'on conduit au choix du Sin kouo wen (Xin guowen). La troisième est "la louable correction que ce livre, bien que rédigé pour les écoles officielles d'un pays non chrétien, [lui] a paru observer (...) vis-à-vis des questions morales et religieuses" (p. 11). En note, Lamasse ajoute que "le Sin kouo wen [lui] paraît de beaucoup supérieur aux "Classiques" que l'on mettait jadis entre les mains des enfants mêmes chrétiens". Pour ce qui est de son intervention, il rappelle qu'il a réalisé "la traduction en bon français -- autant, du moins, que la chose est réalisable en pareille matière" (!).
Dans sa préface initiale signée en Mandchourie le 19 mars 1920, en la fête de Saint-Joseph, H. Lamasse énonce les raisons qui l'on conduit au choix du Sin kouo wen (Xin guowen). La troisième est "la louable correction que ce livre, bien que rédigé pour les écoles officielles d'un pays non chrétien, [lui] a paru observer (...) vis-à-vis des questions morales et religieuses" (p. 11). En note, Lamasse ajoute que "le Sin kouo wen [lui] paraît de beaucoup supérieur aux "Classiques" que l'on mettait jadis entre les mains des enfants mêmes chrétiens". Pour ce qui est de son intervention, il rappelle qu'il a réalisé "la traduction en bon français -- autant, du moins, que la chose est réalisable en pareille matière" (!).
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1 commentaire:
Je lis un commentaire sur le Xin Go Wen publié par Lamasse. C'était le livre autrefois utilisé aux Langues O' pour étudier le wenyan. Je lis un livre de Lao She où il est question du "Guo Wen" utilisé dans les écoles chinoises. Est-ce une édition antérieure du Xin Guo Wen ou est-ce le même livre? Merci si vous pouvez me renseigner.
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