Le volume XXIII (2004) d'Études chinoises vient de paraître. Un beau pavé de 590 pages. (Sommaire consultable sur le site de l'AFEC.)
J'y ai participé en réalisant un compte rendu pour les Carnets secrets de Li Yu de Jacques DARS (Picquier, 2003), qu'on peut lire pages 532 à 540 ou ici.
Sur le site de la revue Lire, Armelle Godeluck a écrit :
Quel joyeux énergumène ce Li Yu ! Un lettré poète, essayiste, dramaturge, un fantaisiste et un esthète, un inventeur et un jouisseur, bref un électron libre qui vécut en Chine de 1611 à 1680. Et qui paya sa liberté d'esprit d'une impécuniosité chronique. De larges extraits de ses Notes au gré d'humeurs oisives nous sont offerts, agrémentés d'estampes (ici, une courtisane). Curieux de tout, du charme féminin comme de l'arrosage des bambous, du plaisir amoureux au printemps comme du secret des nouilles fameuses, Li Yu se laisse boire comme du petit lait.
Elle a bien raison.
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