
On trouvera ici ce qu’on ne peut pas lire là-bas - le blog de LEO2T - et inversement. A bientôt !
![]() « La littérature doit être lue et étudiée parce qu'elle offre un moyen - certains diront même le seul - de préserver et de transmettre l'expérience des autres, ceux qui sont éloignés de nous dans l'espace et le temps, ou qui diffèrent de nous par les conditions de leur vie. Elle nous rend sensibles au fait que les autres sont très divers et que leurs valeurs s'écartent des nôtres. Ainsi un fonctionnaire au fait de ce qui rend sublime le dénouement de La Princesse de Clèves sera-t-il plus ouvert à l'étrangeté des mœurs de ses administrés. » |
![]() Je m'étais retenu de poursuivre sur cette voie glissante, le lieu ne se prêtant pas idéalement au développement oiseux qui va suivre. J'aurais quand même pu écrire que la présentation de l'éditeur - qu'on devrait voir en quatrième de couverture et qui devrait selon toute vraisemblance constituer le seul appareil critique accompagnant l'œuvre (1) -, était à l'unisson de cet emballage d'un type nouveau puisque après avoir dûment fourni l'amorce de l'intrigue en nous promettant « l’irruption du désir et des corps à une époque où ils étaient bannis », elle ajoute (c'est moi qui souligne) : « Ce roman qui est le premier d’une trilogie (les deux autres romans sont en cours de traduction aux Editions Picquier) parue dans les années 1986-1987 en Chine, fit scandale par la franchise avec laquelle était abordée la sexualité. C’est un texte d’une grande violence, curieusement détaché aussi, sans autre morale que celle des corps, de la puissante palpitation de la vie, qui ne connaît ni barrière, ni loi ni tabou. » N’ayant pas lu l'ouvrage, pas plus en chinois qu’en français, j'ai aussitôt imaginé qu'il contenait quelques descriptions d'une grande sensualité qui justifiaient le choix de la photo de couverture. Mais, la lecture de la présentation proposée dans le n° 695 de Livres Hebdo par J.-M. M. (?) m’a très rapidement ramené à la raison (c'est toujours moi qui souligne) : « On appréciera dans ce conte, le changement complet de cadre [par rapport au Chant des regrets éternels (Yvonne André, Stéphan Lévêque (trad.),Picquier, 2006)], et son art de styliste. L'impressionnante retenue de la narration laisse deviner une protestation furieuse : deux destins ont été brisés. » Plus haut, il est même question « d'une description ‘neutre’ d'une passion qui lie, dès l'adolescence, deux jeunes danseurs dans une culture où la sexualité n'existe pas (puisqu'on n'en parle pas) et où rien n'est envisageable hors mariage. » Depuis, Noël Dutrait a tranché le débat de la manière suivante : « Une couverture qui risque de décevoir le lecteur s’il pense lire un texte érotique à la gloire de l’amour physique. » (Voir ici) On peut donc se demander si l'éditeur qui affiche son désir de défendre l'œuvre de Wang Anyi ne lui a pas une nouvelle fois joué un bien vilain tour - le premier, pour ceux qui aurait la mémoire courte, fut la publication des Lumières de Hong-Kong (2001) dont Nicolas Zufferey avait relevé les lacunes [« Les Lumières de Hong Kong et les brumes de la traduction. A propos des éditions françaises de deux romans chinois contemporains », Perspectives chinoises, n° 75 janvier - février 2003, pp. 64-70] ; le second tour pendable, serait donc de lui faire enfiler des atours qui ne lui conviennent pas. Certes, l'image est belle - qui s'en plaindrait ? -, mais, en s'y prenant ainsi, l'éditeur prend le risque d'influencer dans une direction erronée la perception du lecteur. Accordons lui qu'il le fait … ‘en toute conscience’. Il a, en effet, réfléchi de longue date au sujet et sait quoi répondre quand on lui demande s'il attache de « l’importance à la couverture du livre, et à sa qualité en tant qu’objet ? » (voir le relevé de ses propos ici) : La couverture doit être en résonance avec le contenu du livre. Il faut qu’il y ait concordance entre l’intérieur et l’extérieur. Valoriser l’objet avec une image. On attache de plus en plus d’importance à l’objet. Nous avions déjà cette façon de faire à nos débuts. A la question « Demandez-vous l’avis des auteurs pour la couverture ? », il répond : La plupart du temps, ils nous laissent faire, même si parfois ils trouvent nos couvertures moches. Ils ne disent rien mais n’en pensent pas moins. C’est extrêmement difficile quand un auteur demande un droit de regard sur la couverture, cela pose toujours problème. Nous faisons des réunions chaque mardi où nous réglons les problèmes de titre. C’est souvent difficile car la traduction ne tombe pas bien, et il nous faut trouver un titre qui respecte à la fois l’idée de l’auteur et qui soit commercial. Le traducteur donne son avis et nous lui demandons souvent de faire une liste quand nous avons un problème. L'emballage est donc un élément crucial de la politique éditoriale de cette maison, comme de bien d'autres, pour ne pas dire de toutes. Certes, la couverture n'est pas le seul élément à prendre en considération, mais c'est néanmoins celui qui s'impose en premier au lecteur ; c'est elle qui confère au livre, nous dit-on, son statut d'objet, d'objet commercial ! Ceci se comprend naturellement, mais il y a, là sans doute aussi, des limites à ne pas franchir. Le point est plus important qu'il peut sembler au premier abord. Pour remplacer le terme dépréciatif d' « emballage », retenu jusqu'à présent, Gérard Genette avait, voici longtemps déjà, proposé une terminologie plus adaptée, savoir « péritexte » conçu comme partie du paratexte [ce qui se trouve autour d'un texte, « c'est-à-dire toutes les données textuelles qui présentent au lecteur le texte proprement dit et peuvent fonctionner pour lui comme des seuils, des orientations, ou des pièges » [Dictionnaires des termes littéraires, Champion « Classique », 2005, p. 353.]. Dans Seuils (Paris : Seuil, "Poétique", 1987, pages 20-37), justement, il avait fourni une pertinante analyse de tous les éléments qui constituent ce qu'il appelait le péritexte éditorial, savoir « toute zone du péritexte qui se trouve sous la responsabilité directe et principale (mais non exclusive) de l'éditeur ». Vingt ans plus tard, il devient criant que la réflexion menée alors sur la couverture tourne un peu court. Elle mériterait d'être poussée plus avant, car pendant les deux décennies qui nous éloignent de la sortie de cette magistrale étude, les éditeurs ont rivalisé d'audace et d'imprudence, pour ne pas dire de légèreté. Pour en rester au volume en question - mais la question mériterait d'être étendue à tout un corpus et compléter de celle-ci : quel type de présentation, quels péritexte et paratexte doit-on accorder aux traductions de littérature chinoise ? -, on peut s'interroger sur l'impact que va produire cette couverture - non sur les ventes, ce n'est pas notre problème -, mais sur le lecteur. L'image de Wang Anyi auprès d’un public qui ne sait pas grand chose d'elle et pas plus de son œuvre, pourrait s'en ressentir gravement. La traductrice pourrait même se sentir impliquée dans cette présentation osée. L'effet peut-être le plus inattendu de ce péritexte (couverture, quatrième de couverture, dossier de presse, filtrage commercial, ...) sur sa diffusion est sans aucun doute sa soudaine proximité avec des ouvrages avec lesquels le roman de Wang Anyi n'aurait jamais dû devoir frayer. En effet, quoi de commun entre l'ancienne « jeune instruite » née en 1954 et Swann de Guillebon et Patrick Saint-Just, et qu'est-ce qui peut rapprocher Amour dans une petite ville de Farang (Grasset, 2004) et des Folies de Bangkok (Media 1000, collection « Les interdits », 2006) ? La couverture, peut-être (voir notre illustration), à la réserve que celle de Wang Anyi ne figurait pas encore en ligne sur Amazon, le site de vente qui a réalisé tout seul le rapprochement de ces trois romans [sur ce tour de force voir ici]. Pourtant, comment le nier : la confrontation montre un certaine familiarité entre les couvertures des deux premiers titres, et … qu'il y a toujours pire ! Elles sont sans aucun doute le fruit de cette recherche difficile et périlleuse d'un « équilibre » entre une perception du contenu et l'efficacité commerciale. Mais plus vraisemblablement, le responsable de ce rapprochement dérangeant pourrait bien être le contenu des résumés fournis par les éditeurs de ces trois romans. Voici pour étayer cette hypothèse et dans cet ordre, ceux de Farang et des Folies - je ne reprends pas celui d'Amour dans une petite ville : • Bangkok, nuits moites, foules affairées, poussière des soïs, dédale parmi les palais et les temples aux toits d'or. Une ville qui gronde même lorsque rien ne bouge. Mais l'étranger qui s'y perd n'entend pas la menace. Lorsque Tristan rencontre Joy, il ne sait pas que l'amour, en Thaïlande, est un processus conventionnel, impossible à contourner sans emprunter des chemins de traverse. Et quand la mafia de Chiang-Mai s'en mêle, Tristan, qui pense tout maîtriser, est dépossédé de lui-même. Qui dira à quel prix ? Même Monsieur Thran, ce fieffé innocent qui sait si bien se simplifier la vie en compliquant celle des autres, prétend ne pas connaître la fin de l'histoire. C'est pourtant lui, désormais, qui rabâche ce vieux proverbe d'Asie : « Il y a toujours deux extrémités à un bâton. » • Des vacances de rêve en Thaïlande, voilà ce que voulait Hélène, une jeune prof libérée et aventureuse. Après les plages paradisiaques, elle se fait coincer à l'aéroport de Bangkok par erreur et prolonge contre son gré son séjour dans une prison locale. Pourtant ce n'est pas l'enfer quelle découvre, mais presque une colonie de vacances peuplée de femmes prêtes à tout pour tromper leur ennui. Dans la moiteur des cellules, les prisonnières et les gardiennes s'éclatent sans tabou, et Hélène s'aperçoit qu'en prison règne une certaine liberté... sexuelle ! Entre séances coquines au parloir avec son avocat obsédé et complicité avec des Thaïlandaises pas vraiment innocentes, elle se délure au rythme des journées occupées à tromper l'attente d'une libération. Après quelques mois d'incarcération, Hélène finira même par regretter son séjour en taule, à l'ambiance bien plus chaude que bien des clubs de vacances traditionnels. « La sexualité sans barrière, ni loi, ni tabou » des Editions Picquier, la ville - certes celle de Wang Anyi n'est pas la capitale des débordements sexuels de l'Asie, mais bon, les outils informatiques mis en jeu n’ont pas le sens de la mesure suffisamment aiguisé -, ont, au bout du compte, une certaine connivence avec les « chemins de traverses » qui sont suivis dans le Bangkok suintant le cliché, et la « liberté sexuelle » qui s'affiche dans ces productions de second, voire de troisième, rayon. Se pose alors une question : vaut-il mieux qu'un ouvrage soit « mal lu » mais abondamment, plutôt que « peu lu » et mieux apprécié ? Et cette autre interrogation : puisqu'il y aura une suite – « deux romans en cours de traduction » - et qu'il va bien falloir bâtir une unité graphique entre les trois volumes (sans doute du même type que celle qui fut trouvé pour les deux tomes d'Un moment à Pékin de Lin Yutang) quelle surprise les Editions Picquier réservent-elles à ses aficionados ? Au sujet des couvertures, aussi sur ce blog : "Banc d'essai". |
Le texte pour commencer. Ce sera le résumé (à peine modifié) donné par Jean Lévi à un épisode qui intervient dans le 95ème chapitre de l'édition en 120 chapitres du Sanguo zhi yanyi 三國志演義 : Surpris dans la petite ville de Xicheng faiblement défendue avec seulement trois mille hommes par l'avance du gros des troupes du général adverse Sima Yi 司馬懿, Zhuge Liang 諸葛亮 (alias Kongming 孔明 ) décide de laisser les portes de la ville ouvertes et de dégarnir les murs de ses défenseurs, tandis que lui-même, bien visible en haut d'une tour, jouait du luth. Le général Sima Yi, à la vue de ce spectacle insolite, subodora un piège et crut habile de battre en retraite plutôt que de se lancer tête baisszée dans un traquenard, laissant le temps à son adversaire d'organiser sa retraite. C'est ainsi que le rusé ministre du Chu put, à lui tout seul et dans une ville quasiment déserte, tenir en respect un adversaire fort de cent mille hommes. Source : Sun Tzu, L'art de la guerre. Hachette, "Pluriel", 2004, p. 182. |
![]() Le curieux pressé gagnera donc beaucoup de temps en se rendant directement sur Sonshi.com qui se présente comme "The Largest Website for Sun Tzu's Art of War" "supported by over 40 major Art of War authors and scholars". Il propose, outre une foule de documents, sa propre traduction : "Sonshi.com's Sun Tzu "The Art of War" took over a year to complete. Countless hours were required to meticulously translate each individual character from the original Chinese text, cross referenced with more than six major English editions." Ce site spécialisé permet aussi de prendre la mesure de l'impact que Sunzi, son texte et ses commentaires ont aujourd'hui dans des domaines, et sur des personnes très éloignés de leur lieu et époque d'origine (voir notamment ici !) en consultant les "Sonshi articles" . Ce sont pour la plupart des interviews de personnalités ayant contribué à mieux faire connaître et apprécié Sunzi et la stratégie chinoise. Parmi eux, on trouve celui de John Minford qu'introduit cette phrase : Just when we thought a new Sun Tzu "The Art of War" translation is not needed, retired Professor John M. Minford's masterful work proved us wrong. Je ne retiens qu'un court passage de cet entretien fort instructif : Sonshi.com : You researched Father Amiot's book -- the first Western translation of The Art of War. Outstanding! What did you think about his translation and why did you decide to research it? In general, do the French read The Art of War as much as the Americans? Minford : I was interested in Father Amiot as one of the early Jesuits in China. (The Jesuits, and their unique role in transmitting Chinese culture to the West, have long been one of my interests. I am currently working as a Story Consultant for a big Italian movie project about the early Jesuit Matteo Ricci, being produced by Mario Cotone, who did The Last Emperor and Godfather 2.) Father Amiot's version of The Art of War is more of a re-write, and is itself based on a no longer extant Manchu version (complete with running commentary), probably created in the late 17th century for the Manchu ruling class in China. (As conquerors, the Manchus needed to understand how the Chinese thought-for very practical reasons!) Amiot (who knew that his book would be read by the French Minister in charge of Foreign Relations) goes straight to the heart of the meaning of the text, and does not scruple to find fault with Sunzi's thinking where necessary. He was after all a Christian missionary! There is also a recent French translation (which I mention in my book) by Jean Lévi, which is excellent, very strong on commentary and philosophical interpretation. He relies heavily on the thinking of Francois Jullien, one of France's leading sinologists. Yes, the French are very interested in this book. There are several versions available in paperback. |
![]() Pour ceux qui n'auraient pas le goût de l'écoute, je propose pour achever ce billet un peu décousu sur un sujet qui m'échappe, une formation accélérée au Sunzi grâce (entre autres sources possibles) à Youtube. Ce film d'animation de 3 mn 32 est "based on the adaptation by the comic master Tsai Chih Chung [蔡志忠], this book serves as the highlight of the Multimedia Book series." Attention, c'est parti !.... enfin, n'oubliez pas de cliquer sur l'écran ci-dessous ! |
On le voit, la confusion qui nous vaut d'être gratifié d'un "Roi Nan-hua", est née de l'absence d'italiques dans la version de départ et du choix de la transcription du caractère 經 (jing ) en King pour rendre lisible à des Occidentaux le titre alternatif de l'ouvrage attribué à Zhuangzi 莊子: Nanhuajing 南華經. Celui qui s'est rendu coupable de cette bévue est, finalement, plus à plaindre qu'à condamner. M. P. Rival (?) n'était, sans aucun doute, aucunement versé dans les arcanes de la civilisation chinoise, ce qu'on ne peut guère lui reprocher. Sa traduction - une commande de l'éditeur (Maurice Delamain et/ou Jacques Boutelleau (alias Jacques Chardonne), vraisemblablement -, parut en 1927, à Paris à la Librairie Stock sous le titre L'esprit du Peuple chinois. Le nom de l'auteur y est transcrit ainsi : Kou-Houng-Ming. Il figure dans la "Série Orange" en compagnie d'un Mahatma Gandhi de Romain Rolland (1866-1944), La jeune Inde de Gandhi (1869-1948), Le monde qui naît du Comte H. de Keyserling, L'éthique de Kropotkine (1842-1921) et Siloë de Gaston Roupnel (1871-1946). Cette traduction de L'esprit du peuple chinois a été rééditée aux Editions de l'Aube en 1996. Je ne sais pas si cette erreur a, ou non, été corrigée par l'éditeur. Pour ce qui est du traducteur mis en cause par Gu, il s'agit de Frederic Henry Balfour dont la traduction du Zhuangzi fut publiée en 1881 sous le titre The Divine Classic of Nan-Hua, Being the Works of Chuang Tsze, Taoist Philosopher, With an excursus, and copious annotations in English and Chinese by Frederic Henry Balfour (Shanghai - Hong Kong : Kelly and Walsh). Elle a été rééditée en facsimilé par Elibron Classics en 2004 (475 pages). GoogleBooks en offre également un aperçu. On peut se faire une idée plus complète des autres traductions de F. H. Balfour en consultant Taoist Texts, Ethical, Political and Speculative. Shanghai-London : Kelly & Walsh, 1884, à partir d'ici. Sur James Legge (1815-1897) voir ici. L'illustration est tirée d'un portrait de Gu par Liang Danmei 梁丹美(1934-), qu'on peut voir ici. |
![]() Kongzi alias Confucius est - comme 32334 autres célébrités, dont 16072 "avec heure de naissance connue" -, honoré d'un thème astral par le site astrotheme.fr. Celui-ci a été consulté pas moins de 840 fois, permettant à Confucius de devenir le 2241° homme et la 3787° célébrité de ce palmarès surprenant dans lequel il figure avec une date de naissance curieusement arrêtée au 28 juillet - 551 - heure de naissance inconnue (sic) - à Chan-Tong (sic) (Chine). La question que l'on peut se poser est la suivante : l'astrologie dispose-t-elle d'armes efficaces pour mieux apprécier le plus fameux penseur de la Chine ancienne ? A chacun de juger en lisant ces extraits arbitrairement retenus, ou, pour plus d'impartialité, en se rendant directement sur le site. (ici) |
![]() Après trois chapitres qui accumulent d'indigestes généralités (savoir "Les dominantes planétaires de Confucius", les "Eléments, Modes et Polarités pour Confucius", les "Dominantes : planètes, signes et maisons pour Confucius"), on aborde (enfin !) le vif du sujet avec une approche de : 1. Sa sensibilité Vous êtes [sic] sensible à la beauté des choses et vos réactions émotionnelles sont souvent d'ordre esthétique car vous recherchez, jusque dans les apparences, l'équilibre et l'harmonie si nécessaires à votre bien-être. Vous identifiant avec une grande facilité aux uns et aux autres, vous êtes doué pour mettre en valeur ce qu'il y a de meilleur en eux et résoudre avec tact et diplomatie leurs problèmes. Mais, .../..., vous risquez de développer une trop grande dépendance aux autres tant vous souhaitez leur approbation. Cette indécision constante peut être difficile à vivre autant pour vous-même que pour votre entourage car elle vous pousse plus à la contemplation qu'à la création et vous êtes souvent tenté de remettre à plus tard ce que vous avez à faire, à moins que vous ne préfériez user de votre charme pour que l'on se décide à faire le travail à votre place. Mais tant que règne l'harmonie... n'est-ce pas l'essentiel ? 2. Son intellect et sa vie relationnelle Vous avez [re-sic] une énergie intellectuelle et nerveuse considérable, un bon pouvoir de concentration et une grande détermination. .../... Et gare à celui qui ne partagerait pas vos opinions ! Plus que déterminé, vous saurez alors vous montrer entêté et inflexible car vous n'admettrez pas facilement que l'on trouve à redire sur vos idées ou réalisations. Certains pourraient y voir une manière autoritaire de s'imposer avec même parfois une légère condescendance, mais cela, vous n'en serez pas conscient et continuerez donc de penser que vous avez raison. 3. Son affectivité, sa façon de séduire .../... Sans doute n'êtes-vous pas l'être le plus extraverti du monde. .../... Quelle que soit l'intensité de l'amour que vous portez à un être, il ne doit pas attendre de vous de fracassantes déclarations. Mais bien plutôt une fidélité sans faille à cet attachement, un dévouement réel motivé par le désir de bâtir une relation privilégiée, isolée, choyée. Il est probable que la tendresse soit la clé de votre épanouissement affectif. .../... Vous appartenez sans doute à cette catégorie d'amant ou d'amante pour qui le temps est un atout plus qu'un ennemi. .../... Votre sensibilité vous porte de toute façon à éviter les excès et débordements et selon vous, faire ainsi permet de trouver le bonheur sans aucun risque. 4. Sa volonté et ses motivations profondes Psychologiquement, vous êtes d'une nature rêveuse, tournée vers la nostalgie du passé, vers la mère, vers la famille : tout en instinct, tout en protection ou défense de votre être vis à vis de l'extérieur, vous possédez une vie intérieure riche, une imagination fertile voire même infinie, une propension à éviter tout risque inutile, à rechercher la sécurité en ne vous dévoilant que lorsque la confiance est là, une nostalgie du passé pour le sentiment de bien-être qu'il vous rappelle. .../... Vous êtes émotif, sentimental, paisible, imaginatif, sensible, fidèle, résistant, protecteur, vulnérable, généreux, romantique, tendre, poète, paternel ou maternel, rêveur, indolent, gourmand, dévoué, mais vous pouvez aussi être craintif, irréaliste, fuyant, passif, susceptible, angoissé, dépendant, entêté, lunatique, passéiste, paresseux, pesant, casanier ou hermétique. .../... La tendresse compte pour vous plus que la sexualité même si elle est également un facteur de sécurité et de stabilité. Vous appréciez énormément de redevenir le petit enfant gâté que vous étiez, savourant les petits plats ou recevant les compliments réguliers dont vous avez tant besoin pour vous sentir rassuré. .../... Votre foyer sera généralement heureux et riche, calme et harmonieux dans la durée. 5. Sa capacité d'action Impulsif, impatient, rapide et énergique vous ? Oui bien sûr, . Vous êtes courageux et capable d'efforts intenses et très importants sur une courte durée ; et quel rythme ! Que ce soit dans le sport ou bien sur le plan de la sexualité, vous n'êtes pas du genre à réfléchir, vous agissez, un peu "à la hussarde" et instinctivement. Bon, abrégeons ..... Vous parlez avec franchise sans vous soucier de l'opinion de l'autre et surtout sans supporter qu'il ne vous freine ou qu'il ne vous juge. Avec vous, cela passe ou cela casse, ce qui fait que tous vos échanges relationnels ne s'embarrassent pas de diplomatie ou de compromis. Vous êtes trop franc et trop entier pour perdre du temps avec de la finesse ou de la ruse mais c'est ce qui fait votre charme d'un certain côté car avec vous au moins, on sait à quoi s'en tenir. Vient enfin la "Conclusion" : Ce texte n'est qu'un extrait du portrait de CONFUCIUS, qui nous l'espérons vous donnera le goût d'approfondir vos connaissances en astrologie et vous incitera à visiter et utiliser les nombreuses applications gratuites de www.astrotheme.fr. Si vous souhaitez obtenir votre propre portrait astrologique, bien plus complet que celui de CONFUCIUS, il vous suffit de le commander votre Portrait astrologique complet .... Personne ne s'y trompera. Il s'agissait de retenir l'attention du visiteur naïf pour parvenir à lui vendre un service soit personnel - "Un portrait psycho-astrologique complet qui vous apporte bien davantage que toutes les études astrologiques habituelles !", soit en rapport avec l'objet de ses attentions, savoir le "portrait astrologique complet de votre célébrité préférée" lequel se négocie à 17 € 90. Il est "bien plus complet que les extraits de Portraits de célébrités affichés par dizaines de milliers sur Astrotheme". 11 dominantes planétaires avec 57 caractéristiques sont passées en revue, chiffrées et interprétées; vient ensuite un portrait psychologique détaillé : pour vous apporter, dans un document complet de 35 à 40 pages, des informations captivantes et inédites sur... vous-même !" Qui dit mieux ? |